Rob-Roy

Sir Walter Scott
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Rob-Roy

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Title: Rob-Roy
Author: Walter Scott
Release Date: October 8, 2005 [EBook #16828]
Language: French
Character set encoding: ISO-8859-1
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Walter Scott
ROB-ROY

Publication en 1817 Traduction d'Auguste Defauconpret, publiée en
1830.

Table des matières
Avertissement de la première édition. Introduction Chapitre premier.
Chapitre II. Chapitre III. Chapitre IV. Chapitre V. Chapitre VI.
Chapitre VII. Chapitre VIII. Chapitre IX. Chapitre X. Chapitre XI.
Chapitre XII. Chapitre XIII. Chapitre XIV. Chapitre XV. Chapitre XVI.
Chapitre XVII. Chapitre XVIII. Chapitre XIX. Chapitre XX. Chapitre
XXI. Chapitre XXII. Chapitre XXIII. Chapitre XXIV. Chapitre XXV.
Chapitre XXVI. Chapitre XXVII. Chapitre XXVIII. Chapitre XXIX.
Chapitre XXX. Chapitre XXXI. Chapitre XXXII. Chapitre XXXIII.
Chapitre XXXIV. Chapitre XXXV. Chapitre XXXVI. Chapitre
XXXVII. Chapitre XXXVIII. Chapitre XXXIX.
Avertissement de la première édition.
Quand l'éditeur des volumes suivants publia, il y a deux années environ,
l'ouvrage intitulé l'Antiquaire, il annonça que c'était la dernière fois
qu'il adressait au public des productions de ce genre. Il pourrait se
prévaloir de l'excuse que tout auteur anonyme n'est qu'un fantôme,
comme le fameux Junius; et qu'ainsi, quoiqu'il soit une apparition plus
pacifique et d'un ordre moins élevé, il ne saurait être obligé de répondre
à une accusation d'inconséquence. On peut trouver une meilleure
apologie en imitant l'aveu du bon Benedict[1], qui prétend que, lorsqu'il
disait qu'il mourrait célibataire, il ne pensait pas vivre jusqu'au jour où
il serait marié. Ce qu'il y aurait de mieux, ce serait si, comme il est
arrivé à quelques-uns de mes illustres contemporains, le mérite du livre
pouvait absoudre l'auteur de la violation de sa promesse; sans oser
l'espérer, il est seulement nécessaire de dire que ma résolution, comme
celle de Benedict, a succombé à une tentation, ou du moins à un
stratagème.
Voici à peu près six mois que l'auteur reçut, par l'intermédiaire de ses
honorables libraires-éditeurs, un manuscrit contenant l'esquisse de cette

nouvelle histoire, avec la permission, ou plutôt la prière, en termes
flatteurs, de la rendre propre à être publiée. Les corrections et les
changements qu'on le laissait libre de faire ont été si nombreux qu'outre
la suppression de certains noms et d'événements trop près de la réalité,
l'ouvrage peut bien être regardé comme entièrement recomposé.
Plusieurs anachronismes se seront glissés probablement dans le cours
de ces changements, et les épigraphes des chapitres ont été choisies
sans aucun égard à la date supposée des événements. L'éditeur s'en rend
donc responsable. D'autres erreurs appartenaient aux matériaux
originaux, mais elles sont de peu d'importance. Si l'on voulait exiger
une exactitude minutieuse, on pourrait objecter que le pont sur le Forth,
ou plutôt sur l'Avondhu (_rivière noire_), près du hameau d'Aberfoïl,
n'existait pas il y a trente ans. Ce n'est pas toutefois à l'éditeur d'être le
premier à dénoncer ces fautes; il est bien aise de remercier ici
publiquement le correspondant anonyme et inconnu auquel le lecteur
devra la majeure partie de l'amusement que pourront lui procurer les
pages suivantes.
_1er décembre 1817._
Introduction
[...] Aucune introduction ne peut être mieux appropriée à ce roman que
quelques détails sur le personnage singulier dont le nom lui sert de titre
et qui, à travers la bonne et la mauvaise renommée, a conservé une
importance remarquable dans les souvenirs populaires. Cette
importance ne peut être attribuée à la distinction de sa naissance qui,
bien que celle d'un gentilhomme, n'avait aucune illustration et lui
donnait peu de droits à commander dans son clan; non plus que, malgré
une vie agitée et remplie d'événements, ses hauts faits n'égalent ceux
des autres pillards ou bandits qui ont acquis moins de renommée. Sa
gloire vint en grande partie de ce qu'il habitait sur les limites des
Hautes-Terres et qu'il joua au commencement du dix-huitième siècle
les mêmes tours que ceux qu'on attribue généralement à Robin-Hood
dans le Moyen Âge et cela à quarante milles de Glascow, grande ville
de commerce et siège d'une savante université. Un homme qui
réunissait les vertus sauvages, la politique la plus subtile et la licence

sans bornes d'un Indien d'Amérique vivait en Écosse dans le siècle
auguste de la reine Anne et de George Ier. Il est probable qu'Addison
ou Pope n'auraient pas été peu étonnés s'ils eussent appris qu'il existait,
dans la même île qu'ils habitaient, un personnage de la profession de
Rob-Roy. C'est ce
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