Voyages

Théodore Aynard

Voyages, by Th��odore Aynard

The Project Gutenberg EBook of Voyages, by Th��odore Aynard This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org
Title: Voyages
Author: Th��odore Aynard
Release Date: February 11, 2007 [EBook #20562]
Language: French
Character set encoding: ISO-8859-1
*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK VOYAGES ***

Produced by Adrian Mastronardi, Chuck Greif, The Philatelic Digital Library Project at http://www.tpdlp.net and the Online Distributed Proofreading Team at http://www.pgdp.net (This file was produced from images generously made available by the Biblioth��que nationale de France (BnF/Gallica) at http://gallica.bnf.fr)

Th��odore AYNARD
VOYAGES AU TEMPS JADIS
En France, en Angleterre, en Allemagne, en Suisse, en Italie, en Sicile,
EN POSTE, EN DILIGENCE, EN VOITURIN, EN TRAINEAU, EN ESPERONADE, �� CHEVAL ET EN PATACHE.
De 1787 �� 1844.
[Illustration]
LYON. IMPRIMERIE MOUGIN-RUSAND 3, Rue Stella, 3 1888
* * *

AVANT-PROPOS.--��PIGRAPHES
CHAPITRE Ier.--O�� l'on voit le roi Louis XI, la poste et les postillons
CHAPITRE II.--Qui contient des extraits authentiques du journal de voyage en Italie et en Sicile d'Antoine-Henri Jordan, fils et petit-fils d'��chevin, en 1787 et 1788, et quelques autres choses.
CHAPITRE III.--Contenant des ��pisodes du voyage en Bretagne d'Alph��e Aynard, en 1798 et du voyage �� Paris de Th. Ay., en 1815
CHAPITRE IV.--O�� l'on verra quatre personnes parcourant la Suisse dans une grande voiture, mais �� petites journ��es, en 1834
CHAPITRE V.--Voyage en voiturin d'Allemagne en Italie, o�� l'on met quarante jours pour aller de Francfort-sur-le-Mein �� Florence sur l'Arno, et retour en Auvergne par G��nes, Marseille et les C��vennes, en 1839
CHAPITRE VI.--Souvenirs d'Angleterre et d'��cosse, en 1844
CHAPITRE VII.--Service des postes et des diligences en 1790, 1810 et 1850. Comparaison des moyens de transport mis �� la disposition des voyageurs, sous les rapports de la fr��quence des d��parts, du nombre de places offertes au public, et de la dur��e des voyages, par les diligences et les chemins de fer en 1790, 1810, 1850 et 1888
TABLEAU R��SUM�� DU CHAPITRE VII
��PILOGUE
* * *

VOYAGES AU TEMPS JADIS
Et quorum pars parva fui, sed magna parentes.
(Imit�� de VIRGILE.)
* * *

AVANT-PROPOS
Votre m��moire est une lampe que vous avez promen��e pieusement dans les galeries du pass��, o�� elle rallume celles des salons, qui ne sont plus, h��las! que celles des tombeaux.
Arthur DE GRAVILLON.
Dans cette nouvelle r��miniscence que j'offre �� mes amis, en prenant pour ��pigraphe une phrase toute moderne de l'auteur de Peau d'ane, petit-fils et petit-neveu des Jordan P��rier, que j'ai cit��s dans les Salons d'autrefois, j'ai un double motif:
D'abord, celui de t��moigner ma reconnaissance �� tous ceux qui ont bien voulu me remercier de mes envois, en choisissant dans cette nombreuse correspondance un des passages les plus ��l��gants.
Ensuite, de montrer, que si quelquefois je cite les anciens et toujours j'aime �� me souvenir du pass��, ce n'est pas le moins du monde pour le mettre au-dessus du pr��sent, dont j'appr��cie, plus que d'autres peut-��tre, tous les avantages et tous les m��rites.
Il est bien entendu que, dans ce moment, je ne fais pas de politique, et que je ne pense ni au pouvoir l��gislatif, ni �� l'ex��cutif, ni �� leurs familles.
Dans les lettres trop aimables qui m'ont ��t�� adress��es, on m'a fait cependant un reproche, celui d'avoir ��t�� trop court.
Les uns m'ont dit que j'aurais d? parler de salons que je n'ai pas fr��quent��s et de belles dames que je n'ai pas connues.--D'autres ont trouv�� que je ne donnais pas assez de d��tails sur les personnes et les salons que j'ai cit��s.
* * *
Aux premiers je r��ponds, que j'ai pour principe d'��tre v��ridique; je ne pouvais donc raconter que des choses vues et entendues.
Aux seconds je r��ponds, que j'ai aussi pour principe d'��tre discret; lorsque j'��cris sur le temps pass��, c'est plus encore pour mon plaisir que pour celui des autres; car si je revois les tableaux complets d'un autre age, tout en restant dans le vrai, ma plume ne peut en retracer qu'une partie.
Cela me rappelle une dame qui disait, qu'il ne lui serait pas difficile d'avoir de l'esprit, si comme sa voisine, elle voulait dire tout ce qui lui passait par la t��te.
Moi aussi, peut-��tre, j'aurais pu me rendre plus int��ressant et plus amusant, si j'avais racont�� tout ce qui passait dans la mienne; mais je n'ai pas eu la pr��tention de faire douze volumes, comme les M��moires du duc de Saint-Simon.
* * *
En racontant quelques voyages de nos p��res et du temps de ma jeunesse, en outre du plaisir que j'��prouve �� revivre avec ceux qui ne sont plus, et bien souvent �� lire entre les lignes, comme je viens de le dire, mon but principal est d'apprendre �� ceux qui l'ignorent, et ils sont nombreux, la diff��rence ��norme qui existe pour les voyages, entre jadis et aujourd'hui; et quelle contrari��t�� ils ��prouveraient, s'ils ��taient oblig��s de revenir aux
Continue reading on your phone by scaning this QR Code

 / 66
Tip: The current page has been bookmarked automatically. If you wish to continue reading later, just open the Dertz Homepage, and click on the 'continue reading' link at the bottom of the page.