Quentin Durward

Sir Walter Scott

Quentin Durward, by Walter Scott

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Title: Quentin Durward
Author: Walter Scott
Translator: Auguste Baptiste Defauconpret
Release Date: July 13, 2006 [EBook #18825]
Language: French
Character set encoding: ISO-8859-1
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Walter Scott
QUENTIN DURWARD
(1830)
Traduction M. Defauconpret

Table des mati��res
INTRODUCTION. CHAPITRE PREMIER. Le Contraste. CHAPITRE II. Le Voyageur. CHAPITRE III. Le Chateau. CHAPITRE IV. Le D��jeuner. CHAPITRE V. L'Homme d'armes. CHAPITRE VI. Les Boh��miens. CHAPITRE VII. L'Enr?lement CHAPITRE VIII. L'envoy��. CHAPITRE IX. La Chasse au sanglier. CHAPITRE X. La Sentinelle. CHAPITRE XI. La Galerie de Roland. CHAPITRE XII. Le Politique. CHAPITRE XIII. L'Astrologue. CHAPITRE XIV. Le Voyage. CHAPITRE XV. Le Guide. CHAPITRE XVI. Le Vagabond. CHAPITRE XVII. L'Espion ��pi��. CHAPITRE XVIII. La Chiromancie. CHAPITRE XIX. La Cit��. CHAPITRE XX. Le Billet. CHAPITRE XXI. Le Sac du Chateau. CHAPITRE XXII. L'Orgie. CHAPITRE XXIII. La Fuite. CHAPITRE XXIV. La Prisonni��re. CHAPITRE XXV. La Visite inattendue. CHAPITRE XXVI. L'Entrevue. CHAPITRE XXVII. L'Explosion. CHAPITRE XXVIII. Incertitude. CHAPITRE XXIX. La R��crimination. CHAPITRE XXX. L'Incertitude. CHAPITRE XXXI. L'Entrevue des deux Amans. CHAPITRE XXXII. L'Enqu��te. CHAPITRE XXXIII. Le H��raut. CHAPITRE XXXIV. L'Ex��cution. CHAPITRE XXXV. Le Prix de la Bravoure. CHAPITRE XXXVI. L'Attaque. CHAPITRE XXXVII. La Sortie. CONCLUSION. NOTES.

INTRODUCTION.
?Et un homme qui a fait des pertes.--Allez!? SHAKSPEARE. Beaucoup de bruit pour rien.
QUAND l'honn��te Dogberry[1] r��capitule tous ses titres �� la consid��ration, qui, �� son avis, auraient d? le mettre �� l'abri de l'apostrophe injurieuse que lui adresse Monsieur le gentilhomme Conrade, il est remarquable qu'il ne parle pas avec plus d'emphase m��me de ses deux robes (chose assez importante dans certaine ci-devant capitale que je connais[2]), ni de ce qu'il est un aussi joli morceau de chair que qui ce soit dans Messine, ni m��me de l'argument conclusif qu'il est un camarade assez riche, que de ce qu'il est un homme qui a fait des pertes.
Dans le fait, j'ai toujours observ�� que les enfans de la prosp��rit��, soit pour ne pas ��blouir de tout l'��clat de leur splendeur ceux que le destin a trait��s moins favorablement, soit parce qu'ils pensent qu'il est aussi honorable pour eux de s'��tre ��lev��s en d��pit des calamit��s, qu'il l'est pour une forteresse d'avoir soutenu un si��ge; j'ai toujours observ��, dis-je, que ces gens-l�� ne manquent jamais de vous entretenir des pertes que leur occasionne la duret�� des temps. Vous d?nez rarement �� une table bien servie, sans que les intervalles entre le champagne, le bourgogne et le vin du Rhin soient remplis, si votre Amphitryon est un capitaliste, par des plaintes sur la baisse de l'int��r��t de l'argent, et sur la difficult�� de trouver �� placer celui qui reste improductif entre ses mains; ou, si c'est un propri��taire, par de tristes commentaires sur l'arri��r�� des rentes et la diminution des loyers. Cela produit son effet. Les convives soupirent, et secouent la t��te en cadence avec leur h?te, regardent le buffet charg�� d'argenterie, savourent de nouveau les excellens vins qui circulent rapidement autour de la table, et pensent �� la noble bienveillance qui, ainsi l��s��e, fait un usage hospitalier de ce qui lui reste; ou, ce qui est encore plus flatteur, ils s'��tonnent de la nature de cette richesse qui, nullement diminu��e malgr�� ces pertes, continue, comme le tr��sor in��puisable du g��n��reux Aboulcasem, �� fournir des distributions copieuses sans qu'il y paraisse. Cette manie de dol��ances a pourtant ses bornes, de m��me que les plaintes des val��tudinaires, qui, comme ils le savent tous, sont le passe-temps le plus agr��able, tant qu'ils ne sont affect��s que de maladies chroniques. Mais je n'ai jamais entendu un homme dont le cr��dit va v��ritablement en baissant, parler de la diminution de ses fonds; et mon m��decin, homme aussi humain qu'habile, m'assure qu'il est fort rare que ceux qui sont attaqu��s d'une bonne fi��vre, ou de quelque autre de ces maladies aigu?s
Dont la crise mortelle aussi-bien que prochaine Pronostique la fin de la machine humaine, trouvent dans leurs souffrances un sujet de conversation amusante.
Ayant bien pos�� toutes ces choses, je ne puis plus cacher, �� mes lecteurs que je ne suis ni assez oubli��, ni assez bas en finances pour ne pas avoir ma part de la d��tresse qui afflige en ce moment les capitalistes et les propri��taires des trois-royaumes. Vos auteurs qui d?nent avec une c?telette de mouton, peuvent ��tre charm��s que le prix en soit tomb�� �� trois pence la livre, et se f��liciter, s'ils ont des enfans, de ce que le pain de quatre livres ne leur co?te plus que six pence; mais nous qui appartenons �� cette classe que
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